Grindler Autocars

Pierre Grindler a répondu à quelques questions sur son utilisation de Gescar et le développement de l’interface entre le logiciel et INEO Systrans.

 

Mr Grindler, vous êtes le gérant des Autocars Grindler, pouvez-vous nous présenter la société et ses activités ?

La société Grindler est une PME basée à Vif, au sud de Grenoble, qui transporte de nombreux voyageurs depuis 1929. Les Autocars Grindler réalisent un chiffre d’affaires de 5.7M€ avec un effectif de 49 salariés et une flotte de quarante autocars. Notre activité se répartie, comme beaucoup de petites entreprises de ce secteur, en trois parties : les lignes régulières (60%), les transports scolaires (10%) et l’occasionnel (30%).

 

Vous avez été l’initiateur de l’interface entre Gescar et INEO Systrans il y a un peu plus de 3 ans, quel a été le fait générateur ?

Afin d’améliorer la qualité de service de nos ligne régulières et les exploiter de façon plus réactive, nous avons décidé d’investir dans un SAEIV (Système d’Aide à l’Exploitation et à l’Information des Voyageurs) INEO Systrans.

 

Quelle a été la solution proposée par Perinfo ?

Perinfo a été très réactif, en répondant immédiatement présent à ce projet. Leur équipe a tout mis en œuvre pour le concrétiser rapidement, avec une grande efficacité.

Nous voulions surtout que les informations viennent directement de l’exploitation, c’est-à-dire de notre logiciel Perinfo, afin que les feuilles de travail des conducteurs correspondent aux informations que ces derniers ont sur leur pupitre INEO Systrans (situé sur le tableau de bord).

 

Qu’est-ce que cela vous apporte au quotidien ?

Le pilotage quotidien gagne en qualité grâce à un suivi et une mise à jour d’INEO Systrans instantanée car celle-ci est directement liée à l’exploitation.

 

Quels bénéfices en avez-vous tirés ?

Grâce à la mise en place de cette interface, nous évitons la perte de temps liée à des saisies multiples. Cela permet donc également de limiter les risques d’erreurs et d’améliorer l’efficacité de l’exploitation.

 

Nous remercions Pierre Grindler pour cet interview.

Témoignage recueilli en juin 2012